
La création d’un site web ne se fait pas à la légère. Outil indispensable pour le développement d’une activité aussi bien basée en ligne que physiquement, une plateforme sur internet assure plusieurs rôles en fonction de la nature du métier. Dans tous les cas, des règles importantes s’installent dans le domaine pour assurer principalement la sécurisation des informations qui y circulent.
Le RGPD envers les internautes
La plus récente loi promulguée sur le marché, le Règlement Général sur la Protection des Données s’adresse à tous, allant des personnes morales aux personnes physiques. L’objectif principal du RGPD étant de garantir la sécurité des utilisateurs des sites web, l’Etat surveille ce projet avec un très grand sérieux. Ce dispositif change l’approche utilisée pour le recueil des informations personnelles auprès des cybernautes. L’objectif étant de faire comprendre à ces derniers l’enjeu de la demande peu importe la manière dont elle est faite. Une fois à disposition des acteurs œuvrant dans le cadre de la toile, ces données se doivent d’être modifiables par leurs propriétaires à tout moment.
Pour arriver à cette finalité, les créateurs de site comme les agence web ont à mettre en place des conditions d’utilisation et des dispositifs de confidentialité plus optimisés.
Anti-fraude à l’égard de la TVA
Après la publication du projet de loi des Finances 2018, les mesures contre la fraude dans le secteur de l’e-commerce ont retenu l’attention de tout le monde. Les obligations dictées dans ce cadre s’adressent davantage aux entreprises. Celles-ci concernent deux grandes lignes, notamment la facturation et les systèmes de caisses. Si dans le premier cas, peu de choses ont changé, l’encaissement des recettes a connu quelques modifications décisives. Cela se traduit, principalement, par l’utilisation de logiciel entièrement sécurisé et autorisé à assurer les tâches liées à la caisse. Cela ne consiste pas uniquement l’encaissement mais aussi la gestion et la comptabilité.
Depuis le 1er janvier 2018, tous les sites de vente en ligne ont eu recours à un équipement permettant une grande traçabilité de l’imposition par un système d’archivage de haut niveau. Cela, dans le but de supprimer les fraudes témoignées lors de la redevance de la TVA par les clients.
Quelques cas sont, cependant, exclus par cette pratique dite « de conformité ». Les activités exonérées de TVA en sont automatiquement écartées. Une relation en B to B n’est pas non plus concernée étant donné la présence obligatoire d’une facturation dans cette situation. De même, cette loi n’a aucun effet sur les sociétés installées en dehors du territoire français. En dernier lieu, l’échange de particulier en particulier n’étant pas imposable par la TVA n’est pas impliqué.
Le certificat SSL pour une sécurité maximale d’un un site web
Parmi les termes techniques propres à la navigation sur internet, le certificat SSL a le mérite d’attirer l’attention des acteurs. Étant un procédé consistant à renforcer la sécurité du site, cet élément permet de mettre les données des visiteurs à l’abri des malhonnêtes qui cherchent à user illégalement des données stockées sur la plateforme.
Les acteurs commerciaux connaissent l’importance de ce principe aux yeux des clients. Un site sécurisé a en effet plus de crédibilité qu’un autre ne disposant pas d’un certificat SSL. En sachant qu’une étiquette mentionnant le niveau de protection de la plateforme est mise en évidence par les internautes. Et cela n’est pas sans effet sur le référencement de l’entreprise sur le net.
Ce n’est pas pour autant que cette certification est obligatoire. Bien qu’elle se penche en la faveur du propriétaire du site web, elle n’est impérative que pour le cas d’un blog personnel. Tandis qu’elle devient un élément de succès pour un site commercial.